Le repreneur de BIO C BON qui sera désigné par le Tribunal de commerce de Paris le 2 novembre n’est pas responsable de la situation dans laquelle nous nous trouvons.
Il n’a par ailleurs aucune obligation de reprendre à son compte, sous une forme ou sous une autre, les engagements de rachat d’actions et de paiements d’intérêts et de “bonus de sortie” qu’avait pris la société BIO C’BON.
Notre discours est clair : toute démarche qui vise à obtenir réparation auprès du repreneur est une fausse piste. Tout ce qu’il pourra nous proposer sera bon à prendre mais nous ne pourrons le contraindre à rien.